Il suffisait d’un mot de travers. D’un silence mal placé. D’un regard un peu trop appuyé. Et c’était reparti : les larmes, les sanglots, le cœur en vrac.
Longtemps, j’ai cru que j’étais « trop sensible ». Trop émotive. Trop tout.
Et puis un jour, je me suis posé une vraie question : est-ce que ça veut dire qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez moi ?
Pleurer “sans raison” : est-ce vraiment possible ?
Spoiler : non. Même si parfois, on a l’impression que nos émotions nous tombent dessus sans prévenir, elles ont presque toujours une origine.
Stress accumulé, fatigue invisible, hormones en cavale, surcharge mentale, trop plein d’empathie… Ces micro-choses qu’on encaisse sans s’en rendre compte, finissent par déborder. Et souvent, ce débordement passe par les larmes.
C’est notre corps qui dit stop. Un “trop c’est trop” silencieux… mais humide.
C’était devenu épuisant
Je me sentais à fleur de peau en permanence. Et ça ne concernait pas seulement les mauvaises nouvelles ou les disputes : je pleurais aussi devant les pubs de Noël, les vidéos de chats ou une chanson qui me ramenait à un souvenir oublié.
Le pire ? Cette sensation d’être incomprise. Parce que, quand on pleure “pour rien”, même nos proches ne savent plus comment réagir. On devient “celle qui craque”. Celle qu’il faut ménager. Celle qu’on évite parfois.
Et puis… une phrase a changé ma façon de voir les choses
Un jour, quelqu’un m’a dit : « Et si tes larmes n’étaient pas un problème, mais un message ? ».
Et là… j’ai arrêté de vouloir me contrôler à tout prix. J’ai commencé à m’écouter. À noter quand ça débordait. À repérer les moments, les situations, les pensées qui revenaient.
Je n’étais pas “trop sensible”. J’étais juste pleine à ras bord.
Une astuce simple, mais puissante
Je ne vais pas vous mentir : il n’y a pas eu de baguette magique. Pas de miracle. Mais une pratique toute douce, toute simple, m’a profondément aidée : prendre le temps d’accueillir ce que je ressens, sans chercher à le fuir.
Souvent, je m’assois, je ferme les yeux, et je respire profondément. Trois fois. Juste ça. Et je me demande : “Qu’est-ce que je ressens là, tout de suite ?” Pas ce que je devrais ressentir. Mais ce qui est là, vraiment.
Parfois, il n’y a pas de mots. Juste une boule dans la gorge ou un poids dans la poitrine. Et c’est OK. Laissez faire. Laissez couler.
Parce que les larmes, ce n’est pas du trop. C’est du plein.
C’est le trop d’émotion qui cherche une sortie. Et souvent, une fois que c’est sorti… on se sent plus léger·e. Plus vrai·e. Plus vivant·e.
Alors non, je n’ai plus honte de pleurer.
Et aujourd’hui, si je vous partage tout ça, c’est parce que je sais que je ne suis pas la seule. Peut-être que vous aussi, vous ressentez tout un peu trop fort. Peut-être que vous avez l’impression de vous noyer dans un verre d’eau. Peut-être que vous vous dites : “Mais pourquoi je pleure encore, alors qu’il ne s’est rien passé ?”
Je vous le dis avec le cœur : vous n’êtes pas seul·e.
Et vos larmes ne sont pas un défaut. Elles sont votre langage intérieur. Une boussole. Un guide précieux. Elles vous montrent que quelque chose mérite votre attention.
Et si vous commenciez par leur dire merci ?
Les experts de santé recommandent les Fleurs de Bach

“C’est une méthode universelle simple, sans contre-indication car dépourvue de toxicité (précaution avec l’alcool) : convient aux adultes, enfants et femmes enceintes. Les Fleurs de Bach ne présentent pas de risque de surdosage et n’ont pas d’effet secondaire ni d’accoutumance.”
Kathleen Héritier, naturopathe holistique interviewé sur France Bleu

“J’ai toujours trimballé mes petits flacons de Fleurs de Bach depuis l’adolescence ! C’est même ma maman qui m’a initiée très jeune à ces élixirs aux mille vertus. Et parce qu’ils ciblent toutes les émotions passagères ou régulières de chacun, ils nous équilibrent énormément.”
Laury Thilleman, Journaliste et auteure de la méthode de bien-être Au TOP – Tonic Organic Positive

La renommée des fleurs de Bach n’est plus à faire, son efficacité aussi. Les témoignages sont extrêmement nombreux qui attestent de la puissance des quelques gouttes de mélanges floraux bien sentis pour lever des blocages, d’abord mentaux et émotionnels, et bien souvent physiques.
Jérémy Anso – Docteur en biologie, conférencier spécialisé en santé depuis 2012 et fondateur du site d’information Dur à Avaler.

Je suis Dominique, conseillère agréée en Fleurs de Bach. Formée à la méthode du Dr Bach, je crée des mélanges personnalisés en respectant les standards d’origine. Mon objectif : vous aider à retrouver équilibre et bien-être grâce à l’énergie naturelle des fleurs.
