« J’attirais toujours les mauvaises personnes » : son déclic émotionnel

Publié le

Dominique

Anxiété - Stress

Parfois, on se demande si on n’a pas un radar inversé. Comme si on attirait systématiquement les personnes qui allaient, tôt ou tard, nous blesser. Pas par malchance. Mais comme un scénario qui se rejoue, encore et encore.

C’est ce qu’a longtemps cru Julie, 31 ans. Jusqu’au jour où elle a eu un déclic.

“Je m’accrochais toujours à des hommes inaccessibles, absents ou abîmés. Je pensais que je pouvais les aider. Mais je finissais toujours par m’oublier, par souffrir. Et puis un jour, j’ai craqué. Trop, c’était trop.”

Ce besoin de réparer, quitte à se perdre

Certaines personnes n’aiment pas à moitié. Julie en fait partie.

“J’ai toujours été très empathique. Trop, peut-être. Quand quelqu’un souffrait, j’avais envie de l’aimer encore plus fort pour le guérir.”
Mais aimer, ce n’est pas sauver. Et cette confusion, beaucoup la font.

Le “syndrome de l’infirmière” est fréquent chez les personnes très sensibles. Ce besoin de tout donner, de porter l’autre à bout de bras… quitte à s’épuiser.
Ce n’est pas de la faiblesse, c’est souvent une stratégie inconsciente pour obtenir l’amour qu’on n’a pas reçu comme on en avait besoin. Un espoir caché : si je l’aide, il m’aimera.

Quand le manque devient familier

Julie a compris bien plus tard que ses choix amoureux n’étaient pas un hasard.

“J’étais attirée par des partenaires instables, mais c’est ce que j’avais connu. Dans mon enfance, l’amour était imprévisible. Parfois très présent, parfois totalement absent. Alors, bizarrement, c’est ce qui me rassurait.”

On appelle ça la compulsion de répétition. Un mécanisme psychique qui pousse à rejouer les mêmes situations, même douloureuses, pour tenter – inconsciemment – de les maîtriser.
Comme si, en revivant la blessure, on allait enfin pouvoir la panser.

Pourquoi on ignore les signaux d’alerte ?

Breadcrumbing, gaslighting, love bombing… Ce jargon moderne cache des réalités bien connues : être baladé, manipulé, idéalisé puis ignoré.
Julie les connaissait tous. Mais elle les balayait d’un revers de cœur.

“Il y avait toujours de bons moments. Je me raccrochais à eux comme à une bouée. Je me disais que ça allait changer. Qu’il avait juste besoin de temps. Que je n’étais pas assez patiente.”

Ce que Julie ignorait, c’est que la faible estime de soi joue un rôle majeur dans ces dynamiques. Quand on doute de sa valeur, on finit par croire qu’on ne mérite pas mieux. Et on accepte l’inacceptable.

Prendre conscience du schéma

Le jour du déclic, Julie n’a pas eu de révélation magique. Elle a simplement pris du recul.

Elle a relu ses anciennes conversations, ses ressentis, ses attentes. Elle a reconnu un schéma.
Pas pour se blâmer, mais pour reprendre son pouvoir.

“J’ai compris que ce n’était pas lui le problème. C’était mon besoin de validation. Mon besoin de prouver que j’étais digne d’amour. C’est là que j’ai décidé de m’aimer, moi.”

Identifier les répétitions, nommer les émotions, reconnaître les blessures… Ce travail demande du courage. Mais il ouvre une porte : celle d’une relation plus douce, d’abord avec soi-même.

Ce qu’elle ne tolère plus aujourd’hui

Julie a appris à repérer les signaux qui, autrefois, passaient inaperçus.

  • L’ambivalence dans les mots et les actes
  • Les promesses sans lendemain
  • Le silence utilisé comme punition
  • La flatterie excessive suivie de dénigrement
  • Le besoin de tout contrôler

“Je ne cherche plus quelqu’un à réparer. Je cherche quelqu’un avec qui construire. Et si je suis seule entre-temps, ce n’est plus un vide, c’est un espace que je choisis de remplir autrement.”

Et vous ?

Vous vous êtes déjà demandé pourquoi certaines histoires vous laissent toujours un goût amer ?
Pourquoi vous avez l’impression d’attirer les mêmes personnalités, encore et encore ?

Et si le premier pas, ce n’était pas de trouver la “bonne personne”… mais d’aller à la rencontre de vous-même ?

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La renommée des fleurs de Bach n’est plus à faire, son efficacité aussi. Les témoignages sont extrêmement nombreux qui attestent de la puissance des quelques gouttes de mélanges floraux bien sentis pour lever des blocages, d’abord mentaux et émotionnels, et bien souvent physiques.

Jérémy Anso – Docteur en biologie, conférencier spécialisé en santé depuis 2012 et fondateur du site d’information Dur à Avaler.

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