Peur invisible qui sabote vos relations

Cette peur invisible qui sabote vos relations (et comment la dépasser).

Publié le

Dominique

Anxiété - Stress

Vous ne comprenez pas pourquoi certaines de vos relations tournent toujours au même schéma ? Pourquoi vous vous sentez si souvent sur la défensive, ou au contraire, prêt(e) à tout donner trop vite ? Et si ce n’était pas vous… mais votre peur qui parlait à votre place ?

Elle ne crie pas, mais elle dirige tout

C’est une peur silencieuse, insidieuse, bien camouflée derrière des gestes du quotidien. Elle ne provoque pas de tempêtes visibles, mais elle ronge en profondeur.

Elle vous fait douter à l’intérieur, même quand tout semble aller bien à l’extérieur.

Elle vous souffle :
– “Tu vas être rejeté(e)”
– “Tu n’es pas assez bien”
– “Tu vas encore souffrir”

Alors, vous vous taisez.
Ou vous vous adaptez trop.
Ou vous devenez distant(e).
Ou hyper-contrôlant(e).

Sans même vous en rendre compte, vous sabotez ce que vous cherchez le plus : une relation sincère, fluide, sécurisante.

Les masques de cette peur

Parfois, elle prend la forme d’un besoin excessif d’être rassuré(e).
D’autres fois, elle vous pousse à fuir à la moindre proximité.
Elle vous fait dire “ça va” alors que ça ne va pas du tout.
Elle vous donne envie de tout gérer, tout maîtriser… ou de tout éviter.

Elle est là quand :

  • Vous vous excusez d’exister.
  • Vous avez peur d’être trop, ou pas assez.
  • Vous attendez un message qui ne vient pas en imaginant tous les scénarios.
  • Vous choisissez le silence, plutôt que de poser une limite.

Ce n’est pas de la faiblesse. C’est une protection. Mais une protection qui vous enferme.

Ce qu’elle cache (et que vous méritez de voir)

Derrière cette peur invisible, il y a souvent un vieux manque : de reconnaissance, de sécurité, d’amour. Une ancienne blessure qui n’a pas encore cicatrisé.

Elle peut naître d’un rejet vécu, d’une trahison passée, d’un manque d’estime ou d’un trop plein d’attente.

Et elle vous pousse à créer, sans le vouloir, exactement ce que vous craignez.
Parce que quand vous agissez depuis la peur… vous ne choisissez plus librement.

Comment s’en libérer, tout doucement

Pas à pas. Sans se brusquer. Voici quelques clés pour commencer :

1. Reconnaître ce qui se joue

La première étape, c’est d’oser nommer cette peur. “J’ai peur d’être rejeté(e)”, “j’ai peur d’être trop envahissant(e)”, “j’ai peur qu’on ne m’aime pas vraiment”.

Vous ne devenez pas votre peur. Mais en la regardant en face, vous reprenez doucement les rênes.

2. Comprendre qu’elle protège (mais n’aide plus)

À un moment, cette peur vous a peut-être évité de souffrir. Elle a servi. Mais aujourd’hui, elle limite. Elle vous empêche d’oser être pleinement vous-même.

La bonne question devient alors : est-ce que j’agis depuis ce que je ressens… ou depuis ce que je redoute ?

3. Apprendre à vous rassurer vous-même

L’apaisement ne viendra pas uniquement de l’autre. Il commence en vous. Par une phrase douce, un regard plus tendre sur vous-même, un espace où vous avez le droit de ne pas être parfait(e).

4. Oser poser vos mots

Parler de vos besoins, de vos émotions, de vos limites. Même maladroitement. Même avec peur. Ce n’est pas être “trop sensible”, c’est être vivant(e).

5. Créer des relations où l’on peut respirer

Vous méritez une relation où vous n’avez pas à cacher votre cœur. Où l’on peut dire : “J’ai besoin de sécurité” sans être jugé(e). Où l’on peut être vulnérable sans être diminué(e).

Et si on changeait de question ?

Au lieu de demander : “Comment ne plus avoir peur ?”,
Demandez-vous : “Et si j’avançais… même avec un peu de peur ?”

La peur ne disparaît pas toujours.
Mais vous pouvez avancer malgré elle.
Avec elle. En l’apprivoisant. En l’écoutant sans lui obéir.

Car ce n’est pas l’absence de peur qui crée des relations fortes.
C’est le courage d’aimer… sans vous abandonner.

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Jérémy Anso – Docteur en biologie, conférencier spécialisé en santé depuis 2012 et fondateur du site d’information Dur à Avaler.

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