1. Vous ressentez une angoisse dès que vous êtes seul(e).
Rester seul(e) vous pèse. Même lorsque tout semble aller bien autour de vous, une forme de vide intérieur vous saisit. Comme si, sans la présence rassurante de quelqu’un, quelque chose n’allait pas. Cette peur de la solitude ne parle pas que de l’instant présent : elle puise souvent ses racines dans un passé où l’attention, l’affection ou la sécurité ont manqué.
Cette peur se traduit par une hypervigilance : vous êtes sur le qui-vive, craignant l’absence ou l’éloignement, même minime. Et parfois, vous préférez rester dans des relations insatisfaisantes plutôt que d’être seul(e), par peur de revivre cette sensation d’abandon.
2. Vous cherchez constamment l’approbation des autres
Chaque regard, chaque mot, chaque silence… tout peut devenir une source d’interrogation. Ai-je dit quelque chose de mal ? Est-ce qu’on m’apprécie vraiment ? Si ces pensées sont fréquentes, c’est peut-être parce que vous avez appris, très tôt, à chercher à l’extérieur ce que vous ne receviez pas à l’intérieur : de la reconnaissance, du soutien, de l’amour.
Ce besoin de validation peut prendre beaucoup de place. Il peut vous pousser à dire oui quand vous pensez non, à vous effacer pour ne pas décevoir, à éviter tout conflit. Au fond, ce que vous cherchez, c’est à ne pas être laissé(e) de côté. À ne pas être abandonné(e), encore une fois.
3. Vous avez du mal à faire confiance
Même dans les relations les plus proches, un doute persiste. Comme une petite voix qui souffle : « Et s’il ou elle me quittait ? », « Et si je n’étais pas assez ? ». La peur d’être trahi ou de ne pas être aimé pour qui vous êtes peut vous amener à surveiller, contrôler, ou vous méfier… parfois sans raison apparente.
Accorder sa confiance, c’est s’exposer. Et pour quelqu’un qui a vécu une blessure d’abandon, cette exposition peut sembler dangereuse. Alors on garde une distance, ou au contraire, on s’accroche trop fort. Dans les deux cas, la peur dirige la relation.
4. Vous vous oubliez pour garder les autres près de vous
Plaire à tout prix devient un réflexe. Vous faites passer les besoins des autres avant les vôtres. Vous dites oui, vous souriez, vous écoutez, même lorsque tout en vous voudrait crier “non”. Ce besoin de vous adapter, de ne pas faire de vagues, de ne pas déranger… il ne vient pas de nulle part.
En vous oubliant, vous espérez être aimé(e), accepté(e), gardé(e). Mais ce masque de la perfection ou de la personne « facile à vivre » peut finir par peser lourd. Et il vous éloigne doucement de qui vous êtes vraiment.
5. Vous sabotez vos relations sans le vouloir
À force d’avoir peur d’être quitté(e), vous prenez les devants. Vous coupez les ponts, vous vous éloignez, vous devenez exigeant(e) ou dur(e), comme pour tester si l’autre est prêt à rester malgré tout. Et parfois, vous poussez l’autre à partir… pour ne pas avoir à subir un rejet plus douloureux.
Ce mécanisme, souvent inconscient, est une façon de reprendre le contrôle. Si c’est vous qui mettez fin à la relation, alors ce n’est pas vraiment un abandon… n’est-ce pas ?
Mais cette stratégie de protection finit par nourrir la solitude que vous redoutez tant.
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Kathleen Héritier, naturopathe holistique interviewé sur France Bleu
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Laury Thilleman, Journaliste et auteure de la méthode de bien-être Au TOP – Tonic Organic Positive
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Jérémy Anso – Docteur en biologie, conférencier spécialisé en santé depuis 2012 et fondateur du site d’information Dur à Avaler.
Je suis Dominique, conseillère agréée en Fleurs de Bach. Formée à la méthode du Dr Bach, je crée des mélanges personnalisés en respectant les standards d’origine. Mon objectif : vous aider à retrouver équilibre et bien-être grâce à l’énergie naturelle des fleurs.