Témoignage d’une femme de plus de 60 ans qui décide de rompre avec certaines habitudes alimentaires
À plus de 60 ans, Monique en avait assez des routines alimentaires qui l’alourdissaient plus qu’elles ne la nourrissaient. “Je faisais comme toujours : le petit verre de vin le soir, les trois repas bien carrés, un bout de fromage après chaque déjeuner… Sans vraiment me demander si j’en avais encore besoin.” Ce qui a changé ? Son regard sur elle-même. Moins de pression, plus d’écoute. Moins d’habitudes automatiques, plus de choix en conscience.
Elle n’a pas fait un régime. Elle a simplement pris le temps de se demander ce qui lui faisait encore du bien. Et ce qui ne lui en faisait plus. Aujourd’hui, elle parle d’un “allègement global” : du corps, de l’esprit, et même du cœur. Une transformation douce, progressive… mais puissante.
Après 60 ans, tout change… et c’est normal
Métabolisme, hormones, énergie : un nouveau rythme
Passé un certain âge, notre corps entre dans une nouvelle phase. La ménopause entraîne une baisse hormonale qui impacte naturellement l’énergie, le sommeil, la digestion et parfois le poids. La masse musculaire diminue peu à peu, le système digestif devient plus lent, et notre relation à la faim se transforme.
Tout cela n’est ni une punition, ni une faiblesse. C’est la suite logique de notre parcours de vie. Et à ce nouveau rythme, une seule réponse possible : l’adaptation. Une alimentation plus douce, plus intuitive, mieux adaptée à ce que notre corps réclame ici et maintenant.
Pourquoi certaines routines ne fonctionnent plus
Trois repas lourds, des plats riches en sauce, le sucre après chaque repas, ou encore l’apéritif quotidien… Ces gestes autrefois anodins peuvent devenir pesants. Le corps, lui, commence à dire stop : fatigue après les repas, digestion difficile, réveils nocturnes, sensation de lourdeur.
Mais il ne s’agit pas de culpabiliser. Simplement de prendre conscience que nos besoins évoluent. Que ce qui nous allait hier peut ne plus nous convenir aujourd’hui. Et que c’est en observant ces signaux que l’on peut ajuster, doucement, sans pression.
Dire non à certaines habitudes… pour dire oui à soi
Moins d’aliments acides, plus d’alcalinité
Avec l’âge, beaucoup de femmes sentent le besoin de réduire les aliments acidifiants : viande rouge, café, produits industriels, alcool… Non pas pour se priver, mais pour alléger leur organisme. Ce n’est pas un régime, c’est un retour à l’essentiel.
Dans l’assiette, cela veut dire : plus de végétal, plus de couleurs, plus de cru et de cuit équilibrés. Des légumineuses, des légumes vapeur, des salades croquantes, des soupes, des graines. Des repas simples, nourrissants, pleins de vie. Et souvent, un regain d’énergie presque immédiat.
Repenser sa relation à l’alcool et au sucre
C’est souvent le petit verre du soir ou la douceur après le dîner qui pèsent le plus. Pas en termes de calories, mais d’énergie. De qualité de sommeil. De digestion.
Certaines femmes choisissent d’y renoncer quelques semaines pour tester… et se surprennent à ne plus en avoir envie. À se sentir plus légères, plus claires, plus calmes. Boire plus d’eau, découvrir le plaisir des infusions maison, ou simplement savourer un fruit bien juteux en fin de repas peut totalement changer la donne.
Comme le dit Monique : “Je ne me prive pas. J’ai juste appris à m’écouter. Et à faire des choix qui me ressemblent.”
Les piliers d’un équilibre alimentaire plus doux
Des repas simples, variés, riches en végétaux
Quand on souhaite alléger son alimentation après 60 ans, nul besoin de faire compliqué. L’essentiel, c’est de revenir à des repas simples, variés, et surtout… joyeux. Une assiette équilibrée, ça peut être : des légumes de saison rôtis au four, du quinoa aux herbes fraîches, une poignée de pois chiches grillés, un filet d’huile d’olive… et c’est tout.
À la base : beaucoup de végétaux, des légumineuses, des céréales complètes et des bons gras (comme les noix, l’avocat ou l’huile de colza). On mange peut-être un peu moins qu’avant… mais on mange mieux. Et on retrouve, petit à petit, le vrai plaisir de se nourrir.
Bien mastiquer, bien digérer
Ce geste tout simple – mâcher lentement – peut tout changer. Car quand on ralentit, on digère mieux… et on mange plus en conscience. La satiété se fait sentir plus vite, et les portions s’ajustent naturellement, sans effort.
Mastiquer, c’est aussi prendre le temps. Savourer, écouter son corps. Et parfois, redécouvrir les saveurs oubliées d’un plat cuisiné avec soin. C’est l’un des secrets les plus doux d’un équilibre retrouvé.
L’eau : alliée oubliée du bien-être
Souvent, on ne boit pas assez. Et pourtant, l’eau joue un rôle essentiel : elle soutient la digestion, aide le corps à éliminer les toxines, évite les coups de fatigue et prévient la fausse faim.
L’idéal : au moins 1,5 litre par jour. Si l’eau plate ne vous tente pas, variez les plaisirs : infusions douces, eaux aromatisées maison (citron, menthe, concombre…), soupe légère, fruits riches en eau comme le melon, les agrumes ou les fraises… Hydrater son corps, c’est lui dire merci.
Et le mouvement dans tout ça ?
L’exercice doux, mais régulier
Pas besoin de courir un marathon. Le plus important, c’est de bouger chaque jour, avec douceur et constance. La marche, le yoga, le jardinage, la natation ou même quelques étirements à la maison… Tout compte.
Ces mouvements simples entretiennent la masse musculaire, qui a tendance à diminuer avec l’âge. Et préserver ses muscles, c’est garder de l’énergie, de la mobilité, et une belle autonomie au fil des années.
Une activité qui fait du bien au moral
Bouger, c’est aussi bon pour l’esprit. Le mouvement libère des endorphines, favorise un meilleur sommeil, réduit le stress et redonne confiance en soi. On se sent utile, vivant, ancré.
Le secret ? Choisir une activité qui fait du bien. Qui donne envie. Pas une contrainte, mais une bulle de plaisir. Même dix minutes par jour peuvent tout changer.
Le rôle des émotions : un facteur souvent négligé
Le poids des émotions non digérées
Après 60 ans, les émotions sont là, parfois plus présentes qu’on ne le pense. Solitude, stress, fatigue, nostalgie… Elles peuvent se traduire par des envies de sucre, de grignotage, de réconfort dans l’assiette.
Il est important de reconnaître ce lien, sans jugement. L’alimentation émotionnelle n’est pas une faiblesse, c’est un signal. Un appel à prendre soin de soi autrement.
Les Fleurs de Bach, un soutien naturel et apaisant
C’est ici que les Fleurs de Bach peuvent apporter un vrai réconfort. En agissant sur les déséquilibres émotionnels en douceur, elles accompagnent celles et ceux qui souhaitent rééquilibrer leur rapport à la nourriture, sans violence.
Par exemple, notre complexe floral Équilibre Alimentaire aide à apaiser les tensions intérieures qui conduisent à manger sans faim, ou à perdre le lien avec ses ressentis. Un soutien doux, respectueux et profondément bienveillant.
Témoignage : “Je n’ai jamais cru que ce serait si simple de perdre du poids”
Une femme de 63 ans raconte
Françoise, 63 ans, a décidé un jour de changer. Pas de manière radicale, mais avec douceur. Elle a arrêté l’alcool le soir, réduit la viande rouge, troqué les desserts industriels contre une compote maison ou quelques amandes.
Elle a commencé à marcher tous les matins, puis s’est prise au jeu des salades colorées. Résultat ? Une digestion plus facile, un sommeil plus réparateur, quelques kilos en moins… et surtout, un sourire qu’elle croyait avoir perdu.
“Je n’ai jamais cru que ce serait si simple. J’ai juste commencé à faire du bien à mon corps… et il me l’a rendu.”
Ce que je vous recommande, de tout cœur
Écoutez-vous avant tout
Il n’y a pas une seule bonne manière de bien manger après 60 ans. Ce qui compte, c’est d’apprendre à vous écouter. À sentir ce qui vous nourrit vraiment – dans tous les sens du terme. Le bon plan alimentaire, c’est celui qui vous respecte.
Faites simple, un pas après l’autre
Inutile de tout bouleverser. Choisissez un point de départ facile : boire plus d’eau, marcher chaque jour, alléger le dîner… Et observez. Chaque petit pas compte. Et vous mènera là où vous souhaitez aller.
Et si vous osiez changer… pour vous ?
À 60 ans, la vie continue. Elle peut même devenir plus fluide, plus savoureuse, plus libre. Dire non à certaines habitudes, ce n’est pas se priver. C’est faire de la place pour une version de vous plus légère, plus consciente, plus heureuse.
Et si ce simple élan devenait votre plus belle preuve d’amour envers vous-même ?
Les experts de santé recommandent les Fleurs de Bach
“C’est une méthode universelle simple, sans contre-indication car dépourvue de toxicité (précaution avec l’alcool) : convient aux adultes, enfants et femmes enceintes. Les Fleurs de Bach ne présentent pas de risque de surdosage et n’ont pas d’effet secondaire ni d’accoutumance.”
Kathleen Héritier, naturopathe holistique interviewé sur France Bleu
“J’ai toujours trimballé mes petits flacons de Fleurs de Bach depuis l’adolescence ! C’est même ma maman qui m’a initiée très jeune à ces élixirs aux mille vertus. Et parce qu’ils ciblent toutes les émotions passagères ou régulières de chacun, ils nous équilibrent énormément.”
Laury Thilleman, Journaliste et auteure de la méthode de bien-être Au TOP – Tonic Organic Positive
La renommée des fleurs de Bach n’est plus à faire, son efficacité aussi. Les témoignages sont extrêmement nombreux qui attestent de la puissance des quelques gouttes de mélanges floraux bien sentis pour lever des blocages, d’abord mentaux et émotionnels, et bien souvent physiques.
Jérémy Anso – Docteur en biologie, conférencier spécialisé en santé depuis 2012 et fondateur du site d’information Dur à Avaler.